Alger était un partenaire de négociation difficile (ici au début du 19e siècle) par G. A. Jackson

Peintures d'Algérie
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Alger était un partenaire de négociation difficile par G. A. Jackson
Alger était un partenaire de négociation difficile (ici au début du 19e siècle) par G. A. Jackson - Londres 1817

Légende original : Algier (hier im frühen 19. Jahrhundert) war ein schwieriger Verhandlungspartner. - © Bild (gemeinfrei): "Algiers...", G. A. Jackson, London 1817


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"Son prestige auprès de la Haute Porte, sous la souveraineté - souvent purement formelle - de laquelle se trouvaient les Etats barbaresques, était particulièrement grand après ses éclatantes victoires turques. A partir de 1724, la Haute Porte était prête à servir d'intermédiaire entre Vienne et les Etats barbaresques".

C'est Alger qui posait problème. Elle ne voulait, selon le Dr Litschauer, "conclure aucun traité, sauf avec la France et l'Angleterre". On réussit tout de même "à conclure en 1725 un traité de commerce et de navigation" avec Tunis, et plus tard avec Tripoli.

"Wir wern kan Richter brauchen" ? (Nous aurons besoin d'un juge ?) A ce dicton qui semble "un peu sarcastique" dans les voyages temporels de janvier, le Dr Litschauer répond : "Et si on avait besoin de juges dans les tribunaux consulaires créés par les traités ! L'organisation des relations avec les États barbaresques faisait certainement partie des priorités de la politique étrangère impériale à cette époque".

source : wienerzeitung






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